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Podcast🎙️14✨Ulysse Lubin explorateur, t'invite à t'ouvrir au monde et à toi-même


Voici un article consacré au nouvel épisode du🎙️ podcast Job (R) évolution, avec Ulysse Lubin, explorateur de 28 ans qui relève 100 challenges à travers le monde pour dépasser ses barrières mentales.

En chemin, il documente ses aventures sur YouTube, son blog et les réseaux sociaux (Linkedin, TikTok, Instagram), cumulant 250k+ abonnés.




Il a déjà complété 44 challenges dans 20 pays, comme :

  • Survivre une semaine dans la jungle au Costa Rica,

  • Déchiffrer une ancienne stèle Maya au Mexique,

  • Marcher 7 jours dans le Sahara Mauritanien,

  • Plonger à -35 m en apnée en Turquie,

  • Mémoriser 1000 décimales de Pi.


Il a aussi créé un atelier de 40 jours d'introspection !

(Envie d'en savoir plus ? Regarde à la fin de l'article)


📣Au programme

🌟Qui est-il? Comment se définit-il en tant qu'explorateur ?

🌟Quel est son parcours jusqu'à aujourd'hui ?

🌟Comment choit-il ses défis ?

🌟Comment donne-t-il de la valeur à son temps ?

🌟Qu'est-ce que voyager seul lui a apporté ?

🌟Comment a-t-il commencé sa propre introspection ?

🌟Comment est né l'atelier d'introspection ?

🌟Quelle est sa vision de l'ikigai ?

🌟Quels sont ses conseils pour les personnes qui hésitent à quitter leur job ?



Alors Ulysse, qui es-tu ?


Je m'appelle Ulysse Lubin. J'ai 28 ans. En ce moment, je me définis comme un explorateur, c’est-à-dire que je relève 100 challenges à travers le monde pour dépasser mes barrières mentales. Et en chemin, je documente tout ce que j'apprends sur YouTube, mon blog et les réseaux sociaux. Et je suis un petit peu dans une quête pour explorer ma curiosité, apprendre à me connaître. Sur les trois dernières années, j'ai relevé 45 challenges, bientôt 44. Le 45ᵉ arrive dans une vingtaine de pays et ma vie est rythmée par le voyage, par les rencontres, par l'aventure et par la documentation.


L’objectif du podcast, c'est justement de montrer qu'on peut avoir un parcours en parcours atypique et puis comment on peut évoluer. Steffie

🌟Quel a été ton parcours qui t'a mené à ce métier et à cette vie d'explorateur ?


Pas de parcours type, il n'y a pas d'école pour faire ce que je fais. En fait, j'ai créé mon métier et ça a été une vraie réflexion. Ulysse Lubin

"Comment est ce que je peux créer un business aujourd'hui avec la vie que je désire ? En premier lieu il fallait que je comprenne quelle était la vie que je voulais mener avec une démarche d'introspection pour ensuite me dire : "Ok, comment je crée des sources de revenus qui me permettent de vivre la vie que j'ai envie de mener ?" Elle a été déclenchée, par ce besoin de connaissance de soi et par l'échec de ma première start-up.


J'ai fait des études un peu classiques prépa en mathématiques en école d'ingénieur, etc. Mais je vivais par défaut, je faisais ingénieur. Je ne savais pas vraiment pourquoi je faisais les choses et à un moment donné, ma porte de sortie, c'était l'entrepreneuriat.


Du coup, je me suis mis à fond dans les start-ups. J'allais dans tous les concours d'innovation et tous ces trucs-là, j'ai fini par remporter un concours de start-up qui m'a amené à ouvrir mon entreprise. Et ça a duré pendant deux ans et demi. Et en fait, on n'a jamais trouvé notre modèle économique. On a levé des fonds, j'avais des employés extras, mais ça n'a pas marché. Et à ce moment-là, je me suis dit : Ok, qu'est-ce que tu as fait jusqu'à présent dans ta vie ? J'ai fait un gros pas en arrière et je me suis dit " Wow, en fait, même ta start-up, tu l'as lancé, tu faisais le malin en disant être entrepreneur et tu ne faisais pas comme les autres. C'était juste un échappatoire pour pas prendre un job salarié pour travailler 8 h par jour derrière un bureau. Mais en fait je travaillais tout autant de mon côté et.


Et là je me suis dit : "Ok, comment je mène une vie plus intentionnelle ?. J'ai planté ma boîte, je ne me sens pas ingénieur, je me dis je me sens toujours entrepreneur, mais j'ai plus de projets. Tableau blanc : qu'est-ce que je fais ?". Ça a duré un an : un an de remise en question, de voyage aussi. Je suis parti deux mois en Amérique latine, en solo, en sac à dos. Je suis parti au Kirghizistan. Sur le moment, quand tu es dans les plaines kirghize, tu as du temps pour te poser des questions. Quand tu es sur ton cheval pendant 5 h. Et la conclusion de tout ça, c'était que je voulais explorer nouvelles idées, nouvelles disciplines, de nouveaux lieux, partager mes découvertes. J'en suis venu à cette idée de relever des challenges à travers le monde : 10 ce n’était pas à assez, 1000 c'était trop, je vais en faire 100.


Mais je n’ai pas oublié non plus l'idée de monétiser tout ça, et de créer un business stable sur mes aventures. Et c'est pour ça que j'ai commencé à me documenter régulièrement. J'ai testé beaucoup de modèles économiques, cette fois-ci sur la newsletter payante, les communautés payantes, que ce soit de donner des conférences, de faire du conseil aux entreprises sur leur stratégie de contenu, et cetera. Deux ans après, j'ai vraiment trouvé mon modèle économique. Aujourd'hui, j'en vis très bien et j'ai la plupart de mon temps pour aller vivre des aventures."


✨Comment choisis-tu les défis que tu vas faire ?

Alors, il y a des gens qui me proposent des idées. J'ai une liste avec plein d'idées, mais c'est surtout moi, mon envie, mon intention du moment. Et il y a les challenges ne sont pas écrits à l'avance. Je ne veux vraiment pas m'enfermer dans une bucket-list, je veux rester libre et c'est aussi très lié aux rencontres que je peux faire.

C'est ça qui est cool : chaque challenge est unique, a une histoire différente, avec des rencontres différentes, dans des lieux différents, et moi c'est ce qui me plaît beaucoup dans tout ça. Ulysse Lubin

🌟Quel est ton rapport au temps aujourd'hui, dans ton organisation de travail et dans ta vie ?

Mon temps, je le vois comme ma ressource la plus précieuse. C’est-à-dire que l'argent, je peux le perdre, en refaire, il n'y a pas de problème. Le temps, je ne pourrai jamais le regagner. Deuxième point, je ne suis pas quelqu'un qui cherche à vivre forcément longtemps, mais plutôt à vivre largement.


Je ne cherche pas à rajouter des années à ma vie, mais plutôt de la vie à mes années. Ulysse Lubin

Donc je veux vivre le plus intensément possible, une fois arrivé sur mon lit de mort, avoir aucun regret. C'est pour ça que le temps que j'ai, il est très très précieux. Du coup, il y a aussi une partie de qui je suis, je suis un minimaliste profond.


✨Il se présente comme minimaliste dans la vie et dans le business


🎒Minimaliste dans la vie

Je possède moins de 80 objets, je ferme mon cercle proche à très peu de gens. Ça se traduit aussi dans mon business, c’est-à-dire je prends très très peu de clients, je prends très très peu d'appels, voire quasiment aucun, Je décline pratiquement toutes les demandes entrantes, sauf quelques podcasts que j'aime bien. Sauf d'autres personnes à qui j'ai vraiment envie de parler, mais c'est très rare et ça me permet d'avoir des agendas qui sont particulièrement vides.



⌛Minimaliste dans le temps

La plupart des gens pensent qu'être surbooké, c'est un signe de réussite. Moi je pense que c'est l'inverse. Je pense que quand tu contrôles vraiment ton temps, et ce que tu en fais. C'est là où tu as vraiment pris la pleine mesure de ta vie. Ulysse Lubin

Quand je me lève le matin, je n'ai rien de prévu. Après, j'ai des routines, j'écris beaucoup, j'ai un petit budget de journaux, je sais exactement ce que je dois faire chaque jour. Pour autant, j'ai un quotidien qui est très chaotique et qui est pas du tout millimétré et.


💎Le taux aspirationnel pour estimer sa valeur


C'est un concept de la valeur que j'aime beaucoup, qui s'appelle le taux aspirationel, en gros, c'est à combien tu peux m'acheter. Au début, tu pouvais m'acheter pour pas très cher parce que j'étais en galère pour pouvoir gagner de l'argent etc. Aujourd'hui non, mon activité me permet de gagner au moins à 10 000 € par mois en ce moment (octobre 2022). Ce qui veut dire que je n'ai pas besoin de plus d'argent avec ce que je gagne, je peux largement vivre, je peux largement financer les projets que je veux et donc j'ai plus besoin de prendre des petites missions ou autres. Ça veut dire que j'ai augmenté mon taux inspirationel. Moi je l'ai fixé à 1 000 € de l'heure, ça paraît complètement délirant pour beaucoup de gens.


Ce qui est normal, c'est peut-être 100 fois le smic (revenu minimum franaçais) de l'heure évidemment, c'est juste quelques heures par par-ci par-là. Donc je choisis avec attention les gens avec qui je vais travailler. Comme je suis très visible, j'ai beaucoup de demandes aussi bien. Je me suis fixé ça parce que j'ai la crédibilité qui me le permet. Je ne suis pas fixé ça tout de suite. C'est monté petit à petit, donc à 100 à 150, puis 250, puis 500, puis 1000. Et maintenant je n'accepte aucune autre mission. Si je ne travaille pas pour ma quête, si ça ne rentre pas dans ma quête, je ne fais rien en dessous de 1 000 € de l'heure.


💡Pourquoi donner de la valeur à son temps ?

C'est la valeur que je donne à mon temps aujourd'hui. L'idée c'est de le mettre suffisamment haut pour que ça te paraisse presque délirant pour de nouveau être ambitieux sur la valeur de ton temps. Ulysse Lubin

Alors moi, pendant longtemps j'avais du mal à le faire, mais maintenant que je ne suis plus dans le besoin. Je suis devenu très protecteur avec mon temps.



🧭L'importance de bien se connaître pour s'estimer

Il précise : " 1h de mon temps vaut 1 000 € quand c'est en dehors de ma quête et de ce que je fais. Ça veut dire qu'en amont, ça demande de vraiment bien se connaître pour se dire ce qui est du temps monétisable entre guillemets, et qu'est ce qui est du temps bien investi dans ma quête, mes amis, ma famille, mes loisirs, etc.


Qu'est-ce que ça t'a apporté de voyager en sac à dos en solo ?


C'est incroyable. Quand tu pars seul, tu restes jamais seul très longtemps, sauf si tu en as vraiment envie. Ulysse Lubin

En plus moi je suis assez extravertie donc j'allais parler à tout le monde. C'est un outil incroyable pour se découvrir et pour développer sa résilience aussi parce que parfois ça se passe bien, puis ça se passe mal.


🧳Voyager pour développer l'extreme ownership

Et quand tu voyages en solo aussi, tu ne peux plus te plaindre. Ça veut dire que tu prends l'entière responsabilité de tout ce que tu fais. C'est le concept d'extrême ownership. Tu prends vraiment la responsabilité de tout ce que tu fais, au quotidien tu ne cherches plus d'excuses et t'avances. Il y a beaucoup de gens, surtout sur les réseaux sociaux, qui passent leur temps à se placer comme des victimes et à chouiner à droite à gauche.


Quand tu voyages en voyages en solo, si tu fais une erreur, c'est ta faute. Et du coup, j'ai pris beaucoup plus la responsabilité de tout ce que je faisais dans ma vie et ça m'a permis d'aller tellement plus vite maintenant. Parce que maintenant, je fais les trucs que je fais et je ne me plains plus, et j'avance, et j'ai les résultats que je mérite.



Seule, c'est s'autoriser à être connectée à un maximum de monde parce que c'est parfois plus facile de rencontrer du monde, et à s'écouter en fait, parce qu'on est seul face à soi-même.
Et le sac à dos est pour moi aussi symbolique, on emporte juste l'essentiel. Steffie Lejcowski
Photo prise au Vietnam



🧳Voyager seul, c'est dangereux... ou pas


Ulysse aborde une croyance de beaucoup de personnes qui n'ont pas voyagé : "Quand les gens te disent que c'est dangereux. En fait, ils projettent sur toi leur propre insécurité. Parce que moi j'ai voyagé dans plus de 40 pays, j'ai été très rarement été dans des situations de conflit. Alors que je me suis fait agresser trois fois quand j'étais en France : une fois à Paris, une fois à Saint Etienne, et une fois à Marseille.


Si tu prends le temps de comprendre la culture de l'endroit dans lequel tu vas, il y a aucune raison que ça se passe mal. Et ça aide à prendre confiance en soi. Parce que tu te rends compte qu'en fait ce n’est pas dangereux, tu te rends compte que tu peux te débrouiller.



Je serais rassurée si ma fille claque un jour la porte et me dit "Maman, je vais voyager." Parce que si elle s'ouvre au monde, elle s'ouvre à elle-même. Savoir aussi se donner de l'espace et mettre de la distance aussi avec son quotidien, ça permet d'être plus au clair avec soi-même. Steffie Lejcowski



📒Comment est ce que tu as fait pour faire ton cheminement d'introspection ?


Le voyage élargit les œillères à travers lesquels on observe le monde. Et l'introspection c'est pareil, mais avec soi soi-même. Ulysse Lubin

Ça a été très déstructuré, c'est en voyageant et en prenant du recul. Et moi, au début, c'était en voyageant dans les villes, dans les bus, quand j'avais 7h de bus pour aller voir le Machu Pichu, ou quand j'avais 10 h de bus en Tanzanie pour traverser le pays ou les balades, c'était du temps pour me poser des questions et c'était les premières fois où je commençais à écrire sur moi, à me poser des questions sur ce que je voulais faire, avec qui je voulais vivre ou est-ce que je voulais aller et faire mes premières bucket-list. Je me baladais un peu au hasard, je cherchais des ressources, je parlais avec des amis qui étaient un peu plus avancés que moi.


Ils m'envoyaient des exercices puis je testais des trucs et c'est pour ça que ça a pris beaucoup de temps. Pour moi, ça a été une démarche qui était longue et très personnelle et un peu indépendante. Je lisais un article et après j'ai rassemblé en un endroit tous les exercices qui m'avaient été utiles dans un ordre logique. Puis j'avais de plus en plus de potes qui me les demandaient. Ils me posaient des questions comme : Qu'est ce qui s'est passé dans ta vie ? Tu es beaucoup plus heureux qu'avant, beaucoup plus épanoui. Et moi, je leur répondais: Est-ce que tu connais le pouvoir de l'introspection ? Et de fil en aiguille, ils me demandaient des exercices et j'avais un Google Drive sur lequel je mettais toutes les pages, je faisais des Google Docs pour chaque pote. Et je leur donnais des exercices, plus de 20 amis m'ont demandé.


Il y a une vraie demande en fait. C’est-à-dire que ce cheminement que moi j'ai fait de manière un peu solo dans mon coin, ça intéresse plein de gens, parce que c'est 20 de mes potes, ce n’est plus un hasard.

J'ai fait une start-up avant, c'est ce qu'on appelle des signaux qui sont très forts. Surtout après la Covid, ils avaient envie de faire la connaissance d'eux-mêmes et de retrouver du sens dans leur quotidien. À force de le faire pour tous mes potes, j'ai affiné et j'ai fini par écrire un PDF de 30 pages. Et ensuite j'ai envoyé le PDF de 30 pages à tous mes potes, puis je l'ai envoyé aux abonnés de sa newsletter. Je crois que j'ai eu 850 ouvertures sur ce PDF. C'est énorme.


📒Comment est né son atelier d'introspection ?


Quand tu as autant de gens sur une petite communauté qui sont intéressés par se connaître, je me suis dit : "Ok, là il y a un vrai sujet et c'est là où j'en ai fait un business." Après, j'ai mis les formes d'un vrai produit sur lequel j'ai beaucoup itéré. La dernière version basée, c'est cet atelier d'introspection qui est un programme de 40 jours pour trouver sa voie. Et l'idée c'est de clarifier sa vision, trouver son chemin, définir ses valeurs et puis se mettre en chemin vers un quotidien plus enthousiasmant.


Il est faisable pour toutes et tous. Donc il n'y a pas d'excuse en fait car il faut entre dix et 30 minutes par jour. À travers l'atelier, mon idée c'était bien plus que l'idée que les gens trouvent des réponses à leurs questions, c'est qu'ils créent une habitude introspective pour qu'il l'a gardé ensuite toute leur vie et qu'ils aient l'habitude ensuite de systématiquement remettre en question leurs choix et d'avoir plus d'esprit critique sur leur vie, tout simplement pour pouvoir mener une vie plus intentionnelle et donc plus enthousiasmante. Et ça, ça prend du temps.


✨Quelle est sa vision de l'ikigai ?



Nous abordons un outil commun qu'il présente dans son atelier d'introspection : l'ikigai.

Il m'a partagé son propre ikigai que tu trouveras à ci-dessous.


J'intègre l'ikigai dans le bilan de compétences. C'est un super outil que tu peux explorer pour mieux te connaître et retrouver du sens dans ta vie personnelle et professionnelle.




✨Quels sont ses conseils pour les personnes qui se posent la question : Est-ce que je quitte mon job ou pas ?


Déjà s’il y a un doute, il n'y a pas de doute. Ulysse Lubin

Si tu n’es pas parfaitement aligné, tu le sais tout de suite. Si tu sens qu'il y a quelque chose qui ne va pas dans ton quotidien sans que tu n'es plus vraiment aligné, c'est qu'il y a un vrai besoin de faire un travail sur toi rapidement, ce n’est pas quelque chose qu'il faut laisser au hasard.


Ça demande un peu de courage de se poser des questions qui sont vraiment difficiles et d'être honnête avec soi. Ça demande du courage de partir, ça demande du courage d'affronter le jugement de tes proches qui ne vont pas comprendre ce que tu vas faire, surtout si tu crées quelque chose d'original. Il faut se faire confiance, il faut s'écouter.

N’hésitez pas à creuser ça et à être honnête avec vous-même !


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